Une cinquantaine de Présidents, Chefs d’État, Têtes Couronnées se retrouvent dans la Capitale d’Israël, dans la Jérusalem libérée et réunifiée, pour commémorer le 75e anniversaire de la libération du camp nazi d’Auschwitz. Victoire du peuple d’Israël qui garantit son avenir grâce à Tsahal et reste fidèle à la mémoire de 6 millions des nôtres, assassinés par les allemands et leurs alliés dans les pays occupés, assassinés par la lâcheté anglo-française qui a laissé grandir la croix gammée jusqu’à lui faire acte d’allégeance à Munich.
Parmi cette cinquantaine de délégués, il faut remarquer la présence du Président Macron. C’est sa première visite en Israël qui avait été reportée à maintes reprises. C’est le seul Chef d’État qui se rendra à Ramallah pour présenter ses respects au négationniste terroriste Mahmoud Abbas. C’est le seul Chef d’État qui, durant le court séjour consacré à la lutte contre l’antisémitisme, considère indispensable d’aller visiter la pseudo autorité soit disant palestinienne et lui assurer le soutien de la République Française. C’est également le Chef d’État qui soutient encore le régime des ayatollahs, favorise le commerce avec cette république islamo-nazie et continue, au mépris de l’Histoire et de la réalité, à considérer Jérusalem comme capitale d’une Palestine qui n’existera jamais.
Monsieur Macron a de très belles paroles lorsqu’il s’agit de pleurer les juifs morts, déportés du Vel’ d’Hiv’, et sait condamner par des paroles fortes l’antisémitisme et l’antisionisme. Pourtant le Quai d’Orsay, succursale directe du Djihad islamique, continue ses initiatives anti israéliennes et Mr Macron adoube les terroristes par une politique munichoise.
Pour reprendre un vieux proverbe yiddish qui ne résonne plus en Europe : « je ne veux ni de ton miel ni de ton fiel ».